L’équipe technique de la LAEO trouve de l’eau dans le Queensland, Etat australien frappé par la sécheresse

Nous aimons beaucoup découvrir les actions formidables menées à travers le monde par la Lawrence Anthony Earth Organization, une association que nous soutenons à travers la vente de nos produits respectueux de l’environnement.

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mercredi 26th février 2020

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Nous aimons beaucoup découvrir les actions formidables menées à travers le monde par la Lawrence Anthony Earth Organization, une association que nous soutenons à travers la vente de nos produits respectueux de l’environnement.

Voici un article qui décrit leur toute dernière réalisation en Australie, où de graves incendies et sécheresses causent beaucoup de dégâts.

« L’équipe technique de la LAEO trouve de l’eau dans le Queensland, Etat australien frappé par la sécheresse. Récemment, notre équipe technique s’est envolée pour l’Australie pour travailler avec des partenaires à l’installation et au forage de points d’eau en Nouvelle-Galles du Sud et dans le Queensland. Cette partie de l’Australie subit un grave épisode de sécheresse et connait les pires incendies de son histoire, qui ont détruit des centaines de kilomètres de forêts.

Les médias australiens ont couvert ce drame et interviewé des agriculteurs et éleveurs de la région. L’un de ces agriculteurs, Angus Ferrier, a qualifié l’épisode de sécheresse de « catastrophe en marche ». Rien que dans le Queensland, 55 villes sont totalement à court d’eau, ou le seront sou peu. Stanthorpe, près de l’exploitation d’Angus, doit désormais faire venir chaque jour 42 camions citernes d’eau pour un coût mensuel de 800 000 $.

L’un de nos collaborateurs a contacté Angus. Sa vaste exploitation fruitière dispose de six puits actifs qui chacun produisent seulement 1 litre/seconde (180 litres/heure), une goutte d’eau par rapport aux besoins en eau de ses terres. Ses retenues sont asséchées. Lorsqu’on lui demande s’il envisagerait de chercher et forer un nouveau puits à l’aide de la méthode de cartographie et de vérification au sol LAEO/GIS Analytics, il répond : “bien sûr”, mais doute que cela fonctionne. Le problème, c’est que tous les puits de surface de la région s’assèchent, et qu’il y a très peu de puits plus profonds. La région est appelée la “ceinture de granit” car elle repose sur une couche de plus de 350 m de granit. Aucun foreur ne souhaite se lancer dans le forage de cette roche avec uniquement un vague espoir de trouver de l’eau. Mais si on disposait de la technologie permettant de localiser les fractures naturelles du granit renfermant de l’eau et de prévoir la profondeur et le débit ? “Il faudrait le prouver”, répond Angus, prudent mais réaliste. Ce que notre collègue s’est proposé de faire.

Nous avons localisé trois puits pour Angus, qui a choisi un site proche d’un barrage asséché. Nous avons commencé le forage le 1er février. La foreuse a tout d’abord fait ressortir des nuages de poussière de granit, mais à la fin du premier jour, la poussière a disparu, et les premières traces d’eau ont été trouvées à 90 mètres de profondeur, exactement ce qui avait été prévu. Le débit était de 1 800 litres/heure, soit autant que la totalité des autres puits précédemment forés sur la propriété d’Angus. Nous avons poursuivi le forage en profondeur vers la prochaine fracture identifiée, à 220 mètres de profondeur. Les conditions étaient très difficiles : le granit était particulièrement dur, mais l’équipe a persévéré, car elle avait déjà été convaincue par notre première découverte, à 90 mètres.

Quelques jours plus tard, après avoir pris une pause afin de réparer un équipement, le forage a repris, et à environ 220m, voici ce qu’ils ont trouvé… »

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